C'est pas la joie

Hé ben les gens, c'est pas la joie. Vous pouvez vous en doutez vu que je suis ici, à vous écrire, ou à m'écrire moi-même.
Je vais changer un peu le format du blog, juste pour cette article. Excusez moi s'il vous plait.

Donc, premièrement, connaissez-vous une personne égoïste ? Oui ? Hé bien elle l'est moins que ma mère. C'est tout. Imaginez un instant que vous disiez juste que vous vous ennuyez à table et que, quelques heures plus tard, les choses s'étant calmées, vous voulez lui raconter une blague qui vous semble particulièrement drôle. Vous finissez votre blague et, là, elle se met à vous engueuler. Alors ?
Et bien en fait, c'est simple; elle m'en veut car elle ne fait que m'écouter. Bon, logique de lui préciser que je lui ai pas parlé de l'après-midi. Elle me reproche que elle s'occupe toujours de moi, etc...
Bref, pour chaque chose qu'elle fait, il faut la rembourser. Rien à foutre pourquoi, comment, ou même quoi ! D'ailleurs, c'est directement lié au deuxième point que je voulais aborder. Je me fout que tout cela ait l'ai incomplet.

Deuxièmement. J'ai la frousse. Une peur terrible qui équivaut à des centaines de contrôles d'espagnol. Une peur qui vous fait vomir du sang. Un futur vide. Vide de sens, vide d'espoir. Vide de vie, d'humanité. Vide. Et puis du sang sur les murs. De la souffrance à n'en plus finir, le monde qui dégringole, souriant hypocrite.
Un simple futur pour une personne simple.
Voila ce dont j'ai peur. Que ce que je fasse ne serve à rien, ou qu'à des mecs qui n'en n'ont rien à foutre. J'ai peur de faire une erreur dont je porterais le poids sur mes épaules jusqu'à la toute fin.
Ma peur est puissante mais simple :
L'orientation d'une personne consciente.

Troisièmement. J'avais plus de choses à dire au début, mais ça s'épuise. Je me calme, ou je m'enfonce encore dans l'obscurité, je sais pas.
De plus en plus souvent, je tape sur mon lit. C'est un lit en hauteur, donc je frappe juste le côté, sous la rambarde. C'est juste au dessus de mon ordi en fait. Ça me défoule pas vraiment, mais ça matérialise ma colère. C'est pas si mal.
J'ai faillit me faire écraser hier. La fille qui était au volant avait l'air surprise que je soit là. J'avoue qu'en y repensant, j'ai envie de l'insulter, mais c'est juste pour faire pour faire comme tout le monde.
On s'est fait défoncé en math. comme d'habitude.
On s'est fait défoncé en histoire, comme d'habitude.
C'est pas que j'aime pas "Kocchi Muite Baby", mais j'ai envie de la passer.

En bref, mon sang tache encore une fois le sol artificiellement immaculé de ce monde d'aveugles.
Dit comme ça, c'est pas si mal en fait.
J'imagine que c'est le lot des cerveau droits.
Après tout, les enfers, c'est juste le monde des morts.

C'est tous des cons

=>écrit il y à pas mal de temps.

Si je déteste cette société, je pense que c'est parce qu'ont nous prend pour des cons. Je prend souvent l'exemple de cette pub que j'ai vu une fois : ça disait "crème... patati patata ...forme un bouclier anti-douleur... patati patata, point !"
Vous trouvez pas ça aberrant ? Tout le monde sait (enfin, j'espère) que la douleurs ne viens pas de l'extérieur, c'est totalement con !
Quant un moustique vient te piquer, c'est lui qui te met de la douleur dans ta peau ? Ridicule !
Et avec mon père qui travaille dans la grande distribution, c'est le pompon!
"Mais non, ils ont besoin de vivre eux aussi, et patati, et patata..."

Mais tu te rend compte, papa, qu'on nous prend pour des cons ?!
Mais tu te rend compte que toi aussi, tu couillonne des dizaines, voir des centaines de gens ?!

"Fais le deuil du monde" me dit ma mère. Mais merde, j'ai pas à accepter celui là !
Et si l'autre n'existe pas, je le bâtirait de mes mains !

Je n'arrive plus à être heureux,
J'aimerais dire que le jour viendras,
Mais mon soleil n'est pas là.
En attendant, je contemple la nuit.
En la regardant, j'entends
Les rouages de l'homme et de la nature.
Tourner à contre-sens.
Comme une infernalle mélodie
Je n'ai plus qu'a choisir,
Broyé, haché, décortiqué,
Ou au contraire
Libre, avec risque mais libre...

Notre monde, notre société... ou plutôt leur monde, leur société est tout sauf vraie. C'est sans doute pourquoi je m'énerve tant lorsque qu'on me dit "tu verras, la vraie vie, c'est plus dur." Elle est tout sauf vraie, cette vie !
Comment pourrais-je y vivre heureux ? Pour l'instant, je n'ai pas de réponse. Sans doute serais-je obligé de me taire, mais ce n'est pas ce dont j'ai envie.

Je veut juste vivre libre !
LIBRE !

C'est un noël de plus

Samedi 23 novembre 2013 / 22h46 :

J'aime beaucoup les fêtes de noël, malgré le fait que je sois totalement athée. Mais j'ai  un sacrée problème avec les cadeau pour les plus de 13 ans.
C'est quoi cette manie d'acheter les cadeau avec les enfants ?
Exemple : genre la mère qui a son gosse à coté d'elle, il lui demande pour noël le jeux qui traîne sur l'étagère du rayon, et elle accepte en mettant le-dit jouet dans le chariot, là ou seulement une grille sépare l'enfant du cadeau désiré. On est deux mois avant noël, et le petit sait pertinemment quel est le seul jouet qu'il vas avoir à noël, et vu que ça le démange, il va y penser jour et nuit, en rêver, en voir dans la soupe et dans les nuages. Et au final, il aura tellement imaginé plein de trucs que ça vas le décevoir. Et imaginez qu'en plus, entre le moment où l'objet de convoitise est acheté et est déballé, l'objet a dégouté l'enfant. Là ça fait un combo de dingue. C'est ce qui c'est à moitié passé l'année dernière...

Moi je trouve ça juste horrible quoi ! Et tout ça sans parler d'aller chez les autres, et d'avoir la bonne grosse et gigantesque famille offrir des "sous" pour noël. Ça me dégoute, ça casse toute la magie de noël, y'a rien d'intéressant, pas de surprise, faut se forcer à plein de choses, y compris à faire semblant d'être surpris et embrasser tout le monde comme s'y ils m'avaient sauvé d'une mort certaine. Vous me connaissez (peut-être)  et vous savez bien que se forcer, c'est pas mon truc.

Sérieusement, je peut pas blairer ça.

Bye, newspaper, et à la prochaine !

Je suis dans le tunnel. Je vous en prie, pardonnez moi.

Lundi 19 août 2013 / 11h27

Il n'y a toujours pas de viewers réguliers sur ce blog, n'est ce pas ? Ça m'aurait étonné, aussi faut dire.
Aujourd'hui, je suis un peut au bout du rouleau, ne m'en voulez pas. Aujourd'hui, j'ai un peu plus envie d'en finir. Aujourd'hui, j'ai blessé mon frère, non pas dans l'esprit, mais dans la chair, et ça me fait mal, à un point que personne ne peut imaginer, ni même comprendre. Personne ne veut voir, tous le monde est aveugle. Putain, si ya quelqu'un, répondez !
...
Il n'y a personne de toute façon, pas vrai ?
Cette idée du suicide m'oppresse, j'ai du mal à me dire de façon constante que ce n'était qu'un accident. L'ombre attaque mes défenses, et je sais qu'elles ne résisteront pas lorsque ils vont revenir. Dans quelques heures, ce sera "quitte ou double", enfin surtout "quitte". Le combat avec les ténèbres sera dur, mais je ne laisserait pas abattre, pas question ! Car, ce n'est pas... une solution ? Putains de ténèbres !

13h01

 Ça y est, le verdict est tombé. L'ongle de mon frère ne repousseras pas... Tous le monde m'a pris dans ses bras, je me sens mal comme pas possible.

18h23

La journée est passée, je me sens beaucoup mieux, rien a dire de plus.

C'est un condensé des vacances.

Ceci est un condensé, il comporte plusieurs jours. Merci de ne pas s’arrêter à la fin du premier jour. Merci encore


Mercredi 17 Juillet 2013 / 10h18

Ce la faisait longtemps que je n'avais pas écrit sur ce blog. En ce moment, on a pas internet, vous vous demandez donc sans doute comment ça se fait que j'écris quand même. En fait, c'est simple, je suis en train d'écrire ça sur open office et je le copie-collerais lorsque j'aurais de nouveau une connexion, c'est à dire je ne sais pas quand vu qu'on pars demain pour un voyage de 11 jours.

Enfin si je suis là, c'est pas pour parler d'un voyage où je vais copieusement m'ennuyer.
Ces temps-ci, j'ai beaucoup réfléchit, et je crois avoir trouvé pourquoi je préfère rester seul. Comme d'habitude, ce n'est qu'une hypothèse :
Je pense que je m'isole pour échapper au discours moralisateur de ma mère, au Q.I. de CE2 de mon père (avec ses phrases simples sujet+verbe+complément) et à mon frère, qui se croit tous permit, et qui croit aveuglément que tous les gens qui réfléchissent se droguent.

Vous savez quoi, j'ai toujours pensé que j'étais le seul à pouvoir m'opposer à mon père, et je le pense encore. Il est assurément le plus chiant de la maison. Il ne comprend pas les phrases de plus de 3 mots, sérieux ! Et en plus il est cadre ! Sans oublier que à chaque départ en vacances, il stresse à mort et le rejette sur nous (càd la famille) pour pas le montrer.

Sois disant que je fais pas d'efforts, mais m'énerver si peu souvent, c'est déjà surhumain. Si je me comportais comme eux, eux aussi pèteraient des câbles. D'ailleurs, je le fais de temps en temps. En fait, je suis la putain de quille de cette famille, si je lâche, tout le monde coule.

Au passage, j'essaierais de mettre un truc pour écrire sur mon portable, histoire de pas perdre les nombreuses heures passées à rien foutre.

Allez, a plus tard cher journal.


Dimanche 21 juillet 2013 / 17h15

Je sort tous juste de mon livre. C'est étrange, je n'ai pas envie de parler maintenant. Mon père ne le comprend pas, mais ça ne m'étonne pas.
En y pensant, je me rend compte que je n'ai jamais envie de parler après avoir lu quelque chose de profond. Je ne sais pas pourquoi en fait, je dis que c'est pour méditer mais je pense que c'est quelque chose de plus profond, qui a toujours été la, mais qu'on a essayé de m'enlever, il y a bien longtemps. J'aimerais me taire, me couper du monde, mais on m'en empêche. Est-il si important de devoir rester dans un monde qui me rejette autant que je le rejette moi-même ? Est-il vraiment juste de m'y maintenir ?
Dans mon livre, le personnage principal, qui est aussi narrateur, n'hésite pas à se confier à la son amie, ou même à une amie d'amie. Moi, ce n'est pas que je ne peut pas me confier, mais c'est plutôt que... Il n'y a personne pour m'écouter. En fait, si, on m'écoute, mais ils font des conseils non adaptés ou ils en ont marre rapidement. Je suis spécial, ne pouvez vous pas vous en rendre compte ? En public, il est extrêmement seul, mais il n'a pas de problèmes avec lui même. Pourquoi suis-je aussi compliqué ?
Avant hier soir, j'ai rêvé d'elle. Vous savez de qui je parle si vous avez suivit ces post. Je m'était pourtant juré de l'oublier. Mais que voulez vous, on ne maitrise pas son subconscient... Je ne sais pas si on peut appeler ça de l'amour.
Je n'arrive plus à réfléchir, mes parents ont allumé la télé il y a un moment. Tant pis.Bye, newpapers.


Mardi 23 juillet 2013 / 17h00

Aujourd'hui, j'ai glandé pendant quelques heures... en fait, je ne sais pas combien de temps j'ai flâné. Ça fait vraiment du bien de temps en temps de ne rien faire, absolument rien. Je sais pas, c'est reposant. Se balader, dessiner, s'assoir sans rien faire...
Ça me rappelle mon livre.
Dans mon livre, à savoir "La ballade de l'impossible", la sœur de la copine du personnage principal est une élève exemplaire, elle excelle dans tout ce quelle fait, mais tous les trois mois, elle a une sorte de micro période de dépression. Bien sur, c'est moi qui appelle ça comme ça, c'est ce que je ressent en temps que lecteur. Et donc, vu qu'elle passe dans cette période, elle reste parfaitement seule pendant deux jours environ. C'est presque ce qui me faudrait. D'accord, elle se suicide dans l'histoire, mais bon. J'aimerais quand même guérir entièrement.

J'ai l'impression qu'il y a, en moi, deux tempérament, deux personnalité qui s'opposent :
-L'extrême solitude, mais sans regret, comme pour le perso. principal du roman. Passer une année scolaire entière seul, sans amis;
-Le rôle de meneur. Diriger, être vivant au possible, quitte à mentir même à soi même. Se jeter à corps perdu dans l'inconnu...

Ces choix sont des choix extrêmes, j'en suis conscient.
J'aimerais ne pas avoir à choisir, mais cette société m'y oblige. En ce moment je suis sans choisir et j'ai de plus en plus de mal à passer de "meneur" à "solitude". Ce monde ne permet pas d'avoir deux aspects, il ne permet pas non plus ni la tristesse, ni la mélancolie.
Enfin, il ne me permet pas d'être moi-même... Comme si j'avais besoin de son autorisation.


Mercredi 24 juillet 2013 / 15h26

La solitude m'est de moins en moins pesante. Il faudrait que je sois plus souvent seul, mais la maison n'est pas, mais alors pas du tout adaptée. Ce doit être mon frère qui ne comprend pas. En fait, la personne que j'aimerais trouver devrait pouvoir me comprendre et pouvoir se taire et attendre lorsque que je suis en train de... je ne sais pas comment appeler ça, puis-je dire que je réfléchis ? Je ne suis pas sur.

Lorsque je suis seul à ne rien faire, j'ai plutôt l'impression de me sentir, voir, bref, je ne sais pas expliquer ça, mais dans ma tête.

Je crois que je veut être moi-même, mais sans être influencé.
C'est fou, plus j'écris, plus les mots perdent leur sens.
J'avoue que j'aimerais avoir une petite copine, mais... Je ne sais plus comment exprimer mes sentiments et ce que je pense.

Par moments,je me surprend à préférer que l'on me haïsse, c'est réellement plus simple pour moi.

C'est toujours hyouka

Jeudi 27 Juin 2013 / minuit 40

Je crois que je n'arrive pas à faire le deuil de hyouka.
J'émets en ce moment même l'hypothèse que c'est de la jalousie. Voir un garçon, dont la vie est vide au possible tomber amoureux et pouvoir se l'avouer...
Je sais pas si c'est parce sa vie est affreusement vide, ou que je me rend compte que la mienne l'est aussi... Je crois bien que c'est ça. Ma vie est vide et je m'en rend compte, mais je le cache si bien que personne ne le remarque, donc personne n'essaie de me comprendre en profondeur. En définitive, tous le monde croit me connaître.
C'est malheureux, mes pensées qui font un chemin si tortueux pour en arriver là, mais je pense que c'est important que je trouve la source de mon mal-être, la sortie de mon labyrinthe, ou encore, et c'est plus adapté, la combinaison de mon cœur. Même si je trouve que parler du cœur pour les sentiments et totalement con !

Houtarou, you're like me. Une vie vide a laquelle tu trouve des prétextes. Mais toi, au moins, tu te l'avoue.

Je pense ce que je dit. Personne ne semble vraiment me connaître, même mes pseudo amis. C'est dur de dire ça, mais absolument personne ne m'a jamais compris. Dès que je rêve, je rêve que de moi, no other one. Dès que j'imagine un manga, j'y suis seul.
Allez y, de toute façons, j'ai déjà tous les maux de cette putain de terre, l'égoïsme ne sera pas de trop. Ho wait. ça y était déjà... autant pour moi...

C'est intéressant de voir le cheminement de mes pensées avec ce lien , si ça peut vous aider à me comprendre ne serai-ce qu'un petit peu (ce mot n'est pas assez faible encore).

Au fait, pour ma mère, je crois, et pour tout les autres d'ailleurs, faire culpabiliser reste la seule solution valable.

C'est chiant de faires des titre avec "c'est ..."

Lundi 24 Juin 2013 / 23h3

Aujourd'hui, j'ai pas fait grand chose.

Ce matin, on a rien fait et cette après-midi, on est allé acheter des jeans et des chaussures pour votre honorable écrivain (càd moi). Par "on", je définis "ma mère et moi", bien sur.

Au retour, j'ai essayé de lui expliquer encore une fois ma position, ma complexité, etc... Et elle ne comprend toujours pas. En fait, on a commencé par l'histoire de l'arrosage. On a un assez grand jardin, et c'est bien chiant d'arroser les plantes que mon abruti de père plante par caprice, pour laisser crever ensuite évidemment. Ceci entraine cela, donc je refuse catégoriquement de faire l’arrosage.
Bref j'ai dit a ma mère que vu le nombre de taches ménagères que je fait par rapport aux autres (à savoir mon frère et mon père), j'ai bien le droit de refuser UN truc, don't you think ?
Donc elle m'a répondu que j'étais plus fiable, donc... vous avez compris.
Je lui ai donc dit : "Et c'est parce que je suis le moins fort qu'on m'engueule ? Ou bien peut-être que c'est parce-que je rapporte rien comme argent ? Tu sais quoi, de toute façon, t'es toujours dans la répression, jamais t'essaie de comprendre, ou bien d'aider, ou encore ..." Je me souvient pas de tout, mais j'en avais des phrases comme ça, croyez moi.
Après, elle a essayé de se victimiser en disant "De toutes façons, y'a jamais personne pour m'aider !"
Dans un état entre calme et exténué, je suis parti en disant "J'oubliais que je suis personne..."

Après être parti de la salle commune (je sais plus où exactement), ma mère continua a crier plus que parler. Moi j'étais parti dehors, donc j'entendais rien. Je suis allé m'assoir sur ma bordure favorite, sur le muret. Et là, je me suis rendu compte que j'avais besoin de détruire. Détruire quoi ? peu-importe, le fait est que j'avais besoin de caser quelque chose, n'importe quoi. Un peu plus tard, j'ai pris la hachette à mon père, on morceau de bois soigneusement choisit, et j'ai commencé à défoncer le pauvre morceau de bois. Ça   crevais, mais ça défoulait pas bien.

A un moment,dans la mêlée, saturé de rage, je lui ai gueulé du truc du genre "T'a besoin d'aide ? Ben moi, j'ai besoin d'aide, mais aussi d'attention, de considération et de plein d'autres trucs !". Étonnamment, lorsque je lui dit ça au calme, sans vraiment souffrir donc, elle me dit un truc du genre "Tu veut qu'on fasse quoi ? Trouve et on le fais !" le tout sur un ton défensif? Mais en gueulant, ça passait vraiment mieux. Vous pensez que c'était les décibels l'important ? Quoi qu'il en soit, ça a pas duré longtemps.

En fait, c'est ça les artistes. Des gens plus intelligents ou doués, qui n'arrivent pas à trouver quelqu'un qui les comprennent. C'est mon cas pour ceux qui auraient pas compris.

Fucking day,
Bye, dear diary.